INFOLETTRE

Caroline Harbec . | Parcours inspirant d'une entrepreneure innée : de la vente de produits aux projets immobiliers

C'est niaiseux à dire, je suis une entrepreneure innée. J'étais petite, là, pis ma première job, je vendais des verres de terre, pis en voyant que je faisais de l'argent avec ça, fait que j'allais cueillir des verres de terre. Pis après ça, ma grand-mère, elle avait un grand jardin, fait que je me suis mise à vendre des tomates pis des cocombes sur le bord de la rue.

J'ai travaillé pour un entrepreneur général. J'me suis dit « Oh my God, c'est une job de rêve, je tripe sur les maisons. » Fait que j'étais allée chercher ma licence. J'en étais quatre femmes qui avaient une licence complète à 100 %. Pis là, je suis devenue entrepreneur. J'ai construit pendant une quinzaine d'années.

Après ça, j'ai acheté une compagnie qui s'appelait Calinet de construction, qui faisait de la franchise de dégâts d'eau et de feu. Pis là, c'était 24 heures sur 24, 7 jours par semaine. C'était à des employés, à plus finis. Pis je suis allée faire Compostelle, entrepreneur. J'ai fait « OK, non, non, non, moi, je veux une vie dans la vie, c'est pas juste de la gestion, pis c'est pas dormir, pis penser au cash flow ». J'ai pris une année sabbatique, là, j'ai fait « Qu'est-ce que tu tripes dans la construction ? ». Ben, je tripe mes oncles, pis je tripe rencontrer les gens, pis je tripe, genre, ça, avec le monde. Pis je tripe leurs étapes de vie, pis je tripe les amener où ils veulent aller.

Après, j'ai fait de la construction immobilière. C'est ça, ma job, maintenant, ça va être que ça. C'est le plus beau métier du monde. Là, je fais beaucoup Saint-Jean-sur-Richelieu, mais je fais beaucoup de villes et villages. Pis ça va vite, là. Les gens, on se connaît rapidement dans les villes et les villages. Pis je pense que je suis quelqu'un qui est très dévoué. Je travaille avec des gens, on est tous comme ça, on s'entraide tous. J'ai un rôle de travail avec moi, des fois, là. Pis il y a du genre aller déménager les clients. Je suis super à l'aise avec les gens. C'est la proximité qu'on est capable de créer. Pis ça se fait tellement rapidement.

Des fois, ils m'appellent un carreau. « Tu es drôle, je ne te connais pas pantoufle. » « Hey, salut ! » « Salut, Bob ! » « Ha, ha, ha ! » « C'est bon, tu ne me connais pas. » « C'est vrai que ça, je ne sais pas. »

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